Complémentarité – Structure psycho-physique de la Femme

Le constat

femme enceinte2 Dans un essai attribué à tort au Grand rabbin de France, Gilles Bernheim, (accusé de plagiat – l’auteur reste inconnu) Mariage Homosexuel, Homoparentalité et Adoption : ce qu’on oublie souvent de dire démontrant la complémentarité fondatrice de l’homme et de la femme.

L’essai précise : « La dualité des sexes appartient à la constitution anthropologique de l’humanité. […] La sexualité est la marque de notre finitude. Je ne suis pas tout l’humain. Un être sexué n’est pas la totalité de son espèce, il a besoin d’un être de l’autre sexe pour produire son semblable
Abordons la structure psycho-physique de la Femme et la complémentarité à l’homme qu’elle induit.

La différence sexuelle

Les différences biologiques entre homme et femme seront de plus en plus apparentes tout au long de l’évolution du stade embryonnaire à la maturité sexuelle, et l’embryon est sexué dès les premières cellules même si l’appareil génital n’est pas formé dès le début de la vie. Et les différences physiologiques vont bien au-delà des organes sexuels. En effet, les hormones ont un impact considérable sur l’ensemble du corps féminin et son psychisme. Le nier consiste à refuser le réel.

Pour le philosophe Michel Boyancé[1]:

« La personne est femme ou homme, c’est-à-dire dans son existence même, son unité. Tout son corps « biologique » est sexué ».

L’essai déjà mentionné met en exergue la différence sexuelle : « Les théoriciens du Genre ne définissent pas l’individu par son sexe (homme ou femme) mais par sa sexualité (homo, hétéro…) Ils effacent la dimension biologique et anatomique séparant deux sexes pour ne voir que des genres multiples, dictées par la culture et par l’histoire. […] Au nom de cette égalité et considérant qu’il ne peut y avoir de différence sans inégalité .

« Or, il n’y a pourtant aucune antinomie entre la différence et l’égalité ; le contraire de l’égalité n’est pas la différence et l’égalité n’est pas contradictoire avec la sexuation. « 

Ils demandent à faire disparaitre la différence sexuelle entre hommes et femmes (percevoir la différence comme un problème, quel paradoxe dans une société où l’on ne jure que par l’acceptation de la différence !) »

Puis est précisé : « Le sexe n’est donc pas un attribut accidentel de la personne. La génitalité est l’expression somatique d’une sexualité qui affect tout l’être de la personne : corps, âme et esprit. C’est parce que l’homme et la femme se perçoivent différentes dans tout leur être sexué, tout en étant l’un et l’autre des personnes qu’il peut y avoir complémentarité et communion.

« Masculin » et « féminin », « mâle » et « femelle » sont des termes relationnels. Le masculin n’est masculin que dans la mesure où il est tourné vers le féminin ; et par la femme, vers l’enfant – en tout cas vers une paternité, qu’elle soit charnelle ou spirituelle. Le féminin n’est féminin que dans la mesure où il est tourné vers le masculin : et par l’homme, vers l’enfant – en tout cas vers une maternité, qu’elle soit charnelle ou spirituelle. 

[…] Je ne suis pas tout l’humain et je ne sais pas tout sur l’humain : l’autre sexe me demeure toujours partiellement inconnaissable. Ce qui conduit à l’impossible autosuffisance de l’homme. Cette limite n’est pas une privation mais un don permettant la découverte de l’amour qui naît de l’émerveillement devant la différence. »[2]

La fécondité

L’aspect le plus apparent de l’Etre-Femme est sa fécondité propre. Les féministes se rebellent contre cet ordre de la nature et, un jour prochain, la science pourrait permettre aux femmes de « s’affranchir de l’esclavage de la maternité », selon l’expression des féministes dures, par le biais de l’utérus artificiel ou exogénèse.

Aristote pressentait déjà :

« Par mâle, nous entendons l’être qui engendre dans un autre et par femelle, l’être qui engendre en soi ».

Sur le plan structurel, la femme est donc un réceptacle, une matrice  dans lequel se forme le petit d’homme.

La remarquable philosophe juive Edith Stein, collaboratrice du philosophe allemand Edmund Husserl, fondateur de la Phénoménologie parle ainsi de la maternité : « Le devoir d’accueillir en soi un être vivant en devenir et en croissance, de l’abriter et de le nourrir conditionne une certaine concentration sur soi-même. Le processus mystérieux de formation d’une nouvelle créature dans l’organisme est une unité si intime du corps et de l’âme que l’on comprend bien que cette unité marque de son empreinte l’ensemble de la nature féminine. »[3]

Thierry Giaccardi, Docteur ès lettres et sciences politiques à  l’université de Belfast, indique : « Si l’identité ne découle pas du corps, d’où découle-t-elle ? »[4]

La mère donne la vie

Quand on parle de la dette contractée auprès de nos mères qui nous ont donné la vie, l’œuvre d’une philosophe italienne, Luisa Muraro, professeur émérite de philosophie de l’université de Vérone, nous éclaire sur la valeur symbolique de la mère : « Dans l’enfance, nous avons adoré notre mère et tout ce qui la regardait, du mari qu’elle avait, aux chaussures qu’elle portait, du son de sa voix à l’odeur de sa peau, et nous l’avons mise au centre d’une mythologie grandiose et réaliste. Je confie donc à la petite fille que j’ai été, à celles avec qui j’ai grandi, aux filles et garçons qui vivent parmi nous, la tâche d’attester la symbolicité non métaphorique de la mère»[10]

Hélène Goussbaye, dans son mémoire de Bachelor en Philosophie Appliquée « Naître femme et le devenir », veut nous convaincre de l’importance et la beauté de cette dette contractée auprès de la mère : « Pour Luisa Muraro, critiquer la société patriarcale et son rejet de la mère ne suffit pas. Selon elle un certain échec du féminisme vient du fait qu’il s’est contenté de critiques alors qu’il faut des affirmations.

Il faut trouver une pensée positive de la féminité, du lien mère-fille, sortir des « ne… pas » pour retrouver la puissance et la positivité de la présence de la mère. Savoir-aimer la mère est le premier pas.

Celui qui donne le sens de l’être, de l’être femme, viennent ensuite la gratitude envers elle et la reconnaissance de son autorité. Ainsi : « Savoir-aimer la mère fait ordre symbolique, (…) seule cette affirmation peut restituer à la société, et d’abord aux femmes, la puissance symbolique que recèle la relation de la fille avec la mère, et qui est neutralisée par la domination masculine »[11]. »[12]

Pour aller plus loin, Thierry Giaccardi évoque le philosophe François Marty dans un article sur la parentalité : « La filiation narcissique s’oppose à la filiation instituée, modèle de la prise en compte de la dimension symbolique de la parenté où la reconnaissance d’une dette vis-à-vis de ses géniteurs met en évidence le fait que nul ne saurait être à l’origine de sa propre vie»[13]

Etre aimée pour aimer à son tour

Benoît XVI explique: «La femme est celle qui reçoit l’amour pour aimer à son tour. » Marie Hendrickx commente cette expression choquante, énigmatique et presque anti-féministe, tant elle induit qu’à l’homme revient l’initiative.

En fait, selon Marie Hendrickx, le pape signifie que : « L’Époux est celui qui aime. L’Épouse est aimée : elle est celle qui reçoit l’amour pour aimer à son tour. […] Lorsque nous disons que la femme est celle qui reçoit l’amour pour aimer à son tour, nous ne pensons pas seulement, ni avant tout, au rapport nuptial spécifique du mariage. Nous pensons à quelque chose de plus universel, fondé sur le fait même d’être femme dans l’ensemble des relations interpersonnelles qui structurent de manière très diverse la convivialité et la collaboration entre les personnes, hommes et femmes. Dans ce contexte large et différencié, la femme présente une valeur particulière comme personne humaine, et en même temps comme personne concrète du fait de sa féminité. « [15]

Retrouver sa féminité

Mulieris Dignitatem ébauche les contours de cette mission particulière de la femme :

« La force morale de la femme, sa force spirituelle, rejoint la conscience du fait que Dieu lui confie l’homme, l’être humain, d’une manière spécifique.»

Naturellement, Dieu confie tout homme à tous et à chacun. Toutefois cela concerne la femme d’une façon spécifique -précisément en raison de sa féminité – et cela détermine en particulier sa vocation. »[16]

La mission particulière de la femme à rayonner de tout son être, à inviter l’homme à être et à aimer s’argumente encore ainsi : « Dans le judaïsme, les femmes sont dispensées d’un grand nombre de commandements particulièrement dans la prière car elles sont considérées comme naturellement religieuses, naturellement en communion avec le divin. On voit combien l’atteinte à la féminité dans l’image du corps et dans le rôle voulu par Dieu met en échec les plans de Dieu, elle est une autodestruction, une stérilisation de la vie. Retrouver sa féminité est le plus grand bien qu’une femme puisse se faire à elle-même d’abord mais aussi à l’homme, à la famille et à la société. »[17]

La femme veille à l’avenir de l’Homme

 « Réconciliez les hommes avec la Vie. Et surtout, veillez, nous vous en supplions, sur l’avenir de notre espèce. »[18]Ceci nous paraît particulièrement important à la lumière du nombre d’avortements contemporain et de l’image dégradée et péjorative du rôle de « génitrice » et de mère de la femme. Jo Croissant, dans son ouvrage, la Femme ou le sacerdoce du cœur, nous partage que « les enfants ont besoin des mères, de leur tendresse, de leur abnégation, de leur persévérance dans leur éducation. C’est à elles qu’il convient de les élever pour à travers eux, « élever » l’humanité. »[19]

Et Jean-Paul II de mettre en exergue le Génie Féminin : « C’est pourquoi l’Eglise rend grâce pour toutes les femmes et pour chacune d’elles: pour les mères, pour les soeurs, pour les épouses; pour les femmes consacrées à Dieu dans la virginité; pour les femmes dévouées à tant d’êtres humains qui attendent l’amour gratuit d’une autre personne; pour les femmes qui veillent sur l’être humain dans la famille, ce signe fondamental de la communauté humaine; pour les femmes qui exercent une profession, celles sur qui pèse parfois une grande responsabilité sociale […] L’Eglise rend grâce pour toutes les manifestations du «génie» féminin apparues au cours de l’histoire, dans tous les peuples et dans toutes les nations; elle rend grâce pour tous les charismes dont l’Esprit Saint a doté les femmes dans l’histoire du Peuple de Dieu, pour toutes les victoires remportées grâce à leur foi, à leur espérance et à leur amour: elle rend grâce pour tous les fruits de la sainteté féminine.

L’Eglise demande en même temps que ces inestimables «manifestations de l’Esprit» (cf. 1 Co 12, 4 ss.), données avec une grande générosité aux «filles» de la Jérusalem éternelle, soient attentivement reconnues, mises en valeur, afin qu’elles concourent au bien commun de l’Eglise et de l’humanité, spécialement à notre époque. Méditant le mystère biblique de la «femme», l’Eglise prie pour que toutes les femmes se retrouvent elles-mêmes dans ce mystère, pour qu’elles retrouvent leur «vocation suprême» »[20].

Que nous dit la Bible de la maternité?

Le Psaume 138 rend grâce au Seigneur pour cette capacité de co-engendrement: « C’est toi qui as créé mes reins, qui m’as tissé dans le sein de ma mère. » Et dans le Livre de la Genèse, l’expression utilisée pour décrire la découverte de la femme par l’homme est très poétique, est dans l’émerveillement. Jean-Paul II commente ce passage: « Dans la description biblique, l’exclamation du premier homme à la vue de la femme créée est une exclamation d’admiration et d’enchantement, qui a traversé toute l’histoire de l’homme sur la terre. Les ressources personnelles de la féminité ne sont certes pas moindres que celles de la masculinité, mais elles sont seulement différentes. La femme – comme l’homme aussi, du reste- doit donc envisager son épanouissement personnel, sa dignité et sa vocation, en fonction de ces ressources, selon la richesse de la féminité qu’elle a reçu le jour de la création et dont elle hérite comme une expression de l’«image et ressemblance de Dieu» qui lui est particulière. »[5]

Avec la Lettre Apostolique aux Femme, Mulieris Dignitatem, rédigée par le Pape Jean-Paul en 1995 et déjà citée, jamais l’Eglise n’avait décrit l’amour particulier de Dieu pour les femmes avec autant de force depuis les paroles de Jésus aux femmes qu’il rencontre.  Citons-en quelques passages éclairants la mission de fécondité de la femme: « La maternité, en tant que fait et phénomène humain, s’explique pleinement à partir de la vérité sur la personne. La maternité est liée à la structure personnelle de l’être féminin et à la dimension personnelle du don […] Ce genre unique de contact avec le nouvel être humain en gestation crée, à son tour, une attitude envers l’homme – non seulement envers son propre enfant mais envers l’homme en général – de nature à caractériser profondément toute la personnalité de la femme.»[6]

« La maternité est liée à la structure personnelle de l’être féminin et à la dimension personnelle du don: «J’ai acquis un homme de par le Seigneur» (Gn 4, 1). Le Créateur fait aux parents le don de l’enfant. Pour la femme, ce fait se relie d’une manière spéciale à «un don désintéressé de soi». Les paroles de Marie à l’Annonciation: «Qu’il m’advienne selon ta parole!» (Lc 1, 38) signifient la disponibilité de la femme au don de soi et à l’accueil de la vie nouvelle. »[7]

Jean-Paul II reconnait clairement le don immense de la femme sur le plan physique, psychique et spirituel dans le processus d’engendrement et d’éducation de l’enfant. Ainsi, « Etre parents, même si cela concerne l’un et l’autre, cela se réalise beaucoup plus en la femme, spécialement dans la période prénatale.

C’est la femme qui « paie » directement le prix de cet engendrement commun où se consomment littéralement les énergies de son corps et de son âme. Il faut donc que l’homme ait pleinement conscience de contracter une dette particulière envers la femme, dans leur fonction commune de parents.

Aucun programme de « parité des droits » des femmes et des hommes n’est valable si cela n’est pas pris en compte d’une manière tout à fait centrale. »[8]

Jean-Paul II n’omettra pas de mentionner la responsabilité engagée de l’homme envers la femme dans l’avortement ou dans l’abandon de celle-ci: « Que de fois ne demeure-t-elle pas abandonnée avec sa maternité, quand l’homme, le père de l’enfant, ne veut pas en accepter la responsabilité? Et à côté des nombreuses mères célibataires dans notre société, il faut penser aussi à toutes celles qui, très souvent, sous diverses pressions, même de la part de l’homme coupable, «se libèrent» de l’enfant avant la naissance. Elles «se libèrent», mais à quel prix? L’opinion publique aujourd’hui essaie de diverses manières «d’effacer» le mal de ce péché; mais généralement, la conscience de la femme ne peut oublier qu’elle a ôté la vie à son enfant, parce qu’elle n’arrive pas à effacer sa disponibilité à l’accueil de la vie, inscrite dans son «ethos» dès le «commencement » ».[9]

Fécondité spirituelle de la Femme

Si la femme peut être épouse et mère, elle est aussi missionnaire. La mission est une des composantes de la femme qui va prévaloir particulièrement chez la femme célibataire, consacrée ou non. Dans l’état de vie du célibat, la femme a une fécondité à exprimer. Jésus appelle sa mère « Femme » chaque fois qu’il l’établit dans son rôle de mère des vivants. Lors des noces de Cana, sur la croix quand il confie l’humanité à Marie, le Christ revient à l’identité féminine première de Marie en l’appelant « Femme ». Ceci ne peut que renforcer toute femme et en particulier celles qui ne vivent pas la maternité physique, dans l’importance de leur fécondité spirituelle.

Marie Hendrickx, lors de l’intervention du 1er mars 2007 sur le thème: “Aimée pour être aimée à son tour », nous explique pourquoi Jean-Paul II caractérise la femme par la «maternité civilisatrice» ou encore l’appelle « Sentinelle de l’invisible » : « […]que Jean-Paul II a appelé « le génie féminin ». Ce génie féminin qui est de reverser l’amour sur les plus faibles, mais qui est aussi de relier l’humanité à Dieu, à l’Infini. Ouvrir l’humanité sur l’Infini et par conséquent la rendre féconde aussi de mille manières et pas seulement féconde d’enfants mais féconde de cultures, de civilisations, donc de relations autres entre le fort et le faible. Donc de créer la civilisation de l’amour qui va remplacer les rapports de forces. La civilisation voulue par le Diable, c’est la civilisation des rapports de forces. La civilisation qu’introduit Dieu et qu’il a essayé d’introduire dans l’humanité, c’est de remplacer ces rapports de forces par des rapports de relations mutuelles, des rapports où la personne a toute sa place, y compris la personne faible, et où le fort se consacre à la promotion du faible. »[14]


[1] Masculin, Féminin, quel avenir ? Michel Boyancé, Edifa Mame, 2007 page 85
[2] Gilles Bernheim et/ ou autre auteur, Janvier 2013 le Mariage Homosexuel, Homoparentalité et Adoption : ce qu’on oublie souvent de dire.
[3] Œuvres complètes d’Edith Stein – Edith Stein Gesamstausgabe -11/12 430.432
[4] Article de Thierry Giaccardi : la Théorie du Gener ou la fin du genre humain dans la revue de Liberté Politique Le Sexe du Genre n°22, Décembre 2011
[5] Lettre Apostolique Mulieris Dignitatem,Jean-Paul II, Article 10
[6] Lettre Apostolique Mulieris Dignitatem,Jean-Paul II, Article 18
[7] Lettre Apostolique Mulieris Dignitatem,Jean-Paul II, Article 18
[8] Lettre Apostolique Mulieris Dignitatem,Jean-Paul II, Article 18
[9] Lettre Apostolique Mulieris Dignitatem,Jean-Paul II, Article 14
[10] L’Ordre Symbolique de la mère, Luisa Muraro, 2003, p.34
[11] L’ordre symbolique de la mère, Luisa Muraro, 2003, P.35
[12] Mémoire de Bachelor en Philosophie appliquée « Naître femme et le devenir », Faculté de Théologie de Lugano, auteur : Hélène Goussbayle
[13] Article de Thierry Giaccardi : la Théorie du Gender ou la fin du genre humain dans la revue de Liberté Politique Le Sexe du Genre n°22, Décembre 2011
[14] Intervention du 1er mars 2007 de Marie Hendrickx, une des rares femmes de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, sur le thème: “Aimée pour être aimée à son tour. »
[15] Intervention du 1er mars 2007 de Marie Hendrickx, sur le thème: “Aimée pour être aimée à son tour. »
[16] Lettre Apostolique Mulieris Dignitatem,Jean-Paul II, Article 30
[17] Consécration à la Ste Trinité par la Ste Famille de la Communion Marie Reine de la Paix.
[18] Message du Concile Vatican II le 8 décembre 1965
[19] La Femme ou le sacerdoce du cœur, Jo Croissant, épouse d’Ehraïm, fondateur de la communauté des Béatitudes, EDB, 1992
[20] Lettre Apostolique Mulieris Dignitatem,Jean-Paul II, Article 31

Crédits photo: http://www.solitude.perso.sfr.fr/isolement.php

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