Témoignage d’enseignement des concepts de Genre à l’école – Belgique

Témoignage d’enseignement des concepts de Genre à l’école – Belgique

Quentin, 4 ½ ans, va à l’école publique en Belgique. Il est en deuxième maternelle et a une gentille maitresse. Parmi les autres enseignants de deuxième maternelle, il y a Mr Jacques, homme charmant et gentil avec les enfants, qui est marié à un autre homme, le mariage homo de personnes de même sexe étant légal en Belgique depuis 2005. Les enseignants font tout ensemble si bien que Quentin est parti en classe verte avec Mr Jacques pendant 3 jours. Celui-ci parle aux enfants de son mari, des cadeaux qu’il lui fait et de sa vie avec lui… Et les enfants font des commentaires, dont me font part les mamans de la classe.

Dont celui-ci il y a quinze jours de Quentin: « Maman, est-ce que je suis un garçon ? » Et ce matin, en rentrant à la maison, je rencontre une de mes amies. Une fois notre conversation terminée, mon fils Quentin me demande « Maman, c’est ton mari ? »

Quel mélange de genre!!! Je suis bouleversée et je ne sais quoi faire : je parle à Quentin du fait que deux hommes ne peuvent pas avoir des enfants, qu’ils ne sont pas mari et femme . Et que lui est un garçon et que c’est merveilleux, d’être un garçon, qu’il va peut-être un jour se marier avec une fille et que ce sera très beau. Et enfin, que le mari de maman, c’est papa et qu’un papa ne peut aller qu’avec une maman… mais j’ai l’impression de lui faire du bourrage de crâne…

Je me pose les questions suivantes :

  1. Quelle est l’utilité de mes paroles ?
  2. Je n’ai pas de place dans une autre école pour l’an prochain : dois-je le retirer quand même de son école?
  3. Quels sont les risques que la confusion génère dans son esprit l’idée de devenir homo lui-même ?

En publiant ce témoignage, Woman Attitude risque des poursuites judiciaires pour propos homophobes sur internet. Nous sommes bien sûr convaincue que les propos publiés plus hauts ne sont en rien homophobes (c’est pour cela que WomanAttitude vous en informe). Il est important cependant de comprendre comment la culture de nos enfants se transforme au gré du temps vers un état de non-nature où l’homme s’auto-définit, refait l’histoire et nie sa filiation, et surtout, laisse à toute personne d’exposer sa sexualité, qui ne concerne personne.

Texte publié sur le site internet du Gouvernement

A la suite des initiatives prises auprès de Twitter en décembre dernier, le Gouvernement a entamé un travail constructif avec le réseau social afin de trouver des solutions techniques rendant possibles la détection et la lutte contre les propos illicites qui ne peuvent être impunément publiés en France. Ces solutions doivent à la fois protéger la liberté d’expression, principe à valeur constitutionnelle, et donner à la Justice les moyens de poursuivre les auteurs de tels propos.

Afin de construire sur Internet un espace de confiance et de respect, il est en effet nécessaire que les réseaux sociaux respectent la loi des Etats dans lesquels ils se diffusent, démarche dans laquelle Twitter a affirmé être prêt à s’engager : dans ce cadre, une procédure de signalement a été mise en place dont les internautes peuvent faire usage. De même, un partenariat a été constitué entre Twitter et SOS homophobie qui permet à cette dernière de signaler des tweets illicites et d’obtenir leur suppression par une procédure prioritaire. Cette procédure a été mise en œuvre au cours des derniers jours et doit désormais donner des résultats effectifs.

Pour aller plus loin, le projet de loi pour l’égalité entre les femmes et les hommes prévoit de compléter la loi pour la confiance dans l’économie numérique afin d’étendre ses obligations à toutes les formes d’incitations à la haine, notamment celles fondées sur le sexe, l’orientation ou l’identité sexuelle.

Enfin, le groupe de travail interministériel sur la cybercriminalité lancé par les ministères de la Justice, de l’Intérieur, de l’Economie et des Finances et de l’Economie numérique, qui rendra ses conclusions d’ici à la fin de l’année, prend pleinement en compte la question de l’incitation à la haine sur internet.

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